À 17 ans, Cheyenne Janas a déjà tout d’une grande. L’artiste, originaire du Nord-Est de l’hexagone, avait conquis, en 2015, le cœur de millions de téléspectateurs, en livrant, sur le plateau de l’émission « La France a un incroyable talent » (M6), des prestations toutes plus exceptionnelles les unes que les autres. Elle poursuit aujourd’hui son petit bonhomme de chemin et se donne pleinement les moyens de réaliser ses rêves. Coup de projecteur…
C’est à Fameck, sa ville natale située dans le département de la Moselle, qu’elle a puisé son authenticité et sa passion pour la musique. Il faut dire qu’elle a été à bonne école, bercée par l’affection et les encouragements d’une famille de mélomanes avertis, à commencer par son papa, Frédéric, avec qui elle a d’ailleurs collaboré sur son premier album, paru en 2016, intitulé « Me, Myself and I » dont l’enregistrement a été réalisé chez Rodluc Studios au Luxembourg.
Épaulée dans ce projet de 14 titres par le compositeur Hilton Theissen, la jeune femme a repris à sa sauce, et dans un format résolument acoustique, accompagnée tantôt de sa guitare tantôt de son piano, des tubes interplanétaires comme « Genie in a Bottle » de Christina Aguilera, « Photograph » d’Ed Sheeran, « Hurt » de Johnny Cash, « Ain’t no sunshine » de Bill Withers, « Fallin’ » d’Alicia Keys, « Smooth criminal » de Michael Jackson ou encore « Can’t help falling in love » d’Elvis Presley, un clin d’œil sans doute à son manager, Steven Pitman, lui-même chanteur américano-allemand qui a notamment remporté, en 2015, le titre de champion d’Europe des interprètes d’Elvis et le Gospel Winner.
Entre Cheyenne et ce grand professionnel du spectacle, l’histoire a commencé 3 ans en arrière. Steven l’a vue chanter dans la rue et a immédiatement su qu’il voulait travailler avec elle. Depuis, il l’a donc prise sous son aile pour la préparer étape par étape à une carrière internationale. « Ça a été un vrai coup de cœur » explique-t-il. « Il se dégage de sa voix une intensité et une sensualité hors du commun ». La Fameckoise, avec ses vibes et son look à la Shakira, chevelure d’or et regard bleu cristallin, silhouette fine et élancée, a, en effet, du talent et du charme à revendre !
« Me, Myself and I », le premier album de Cheyenne Janas (Photo DR www.cheyenne-janas.com)
Dans la richesse de son univers musical, Cheyenne s’imprègne de nombreux styles et artistes. Outre celles et ceux, cités précédemment, dont elle a interprété les covers sur son opus, on y retrouve Michael Buble, Little Mix, One Direction, Marilyn Monroe, Steve Ray Vaughan, BB King, Jimmy Hendrix, Liza Minnellie, Aretha Franklin, Joss Stone mais aussi Etta James.
Alicia Keys a été l’une de ses premières influences, lorsqu’elle a commencé à chanter à l’âge de 5 ans. Quelques années plus tard, elle a suivi la série américaine « Glee » à la télévision qui est devenue une belle source d’inspiration. D’autant que la chanteuse et comédienne Lea Michele lui a donné goût aux comédies musicales. C’est alors que Cheyenne a découvert Barbra Streisand qu’elle admire beaucoup tout comme Michael Jackson ou encore Christina Aguilera, l’une de ses idoles absolues, qu’elle a littéralement adorée dans le film « Burlesque » de Steven Antin.
Élève au lycée Saint-Exupéry de Fameck, Cheyenne mène de front ses études et la chanson avec, entre autres, plusieurs concerts de gospel en église aux quatre coins du Luxembourg.
Cette dernière passera son baccalauréat littéraire au mois de juillet prochain, avant de prendre une année sabbatique dans le but de se consacrer totalement à la musique. Elle envisage par la suite de s’installer à Londres et d’entamer un parcours de 3 années de formation à l’ACM (Academy of Contemporary Music) ; la même école qu’Ed Sheeran a fréquentée.
Étincelante, Cheyenne l’est en tous points. Elle est incontestablement une étoile montante de la soul music à qui l’équipe de Music Covers and Creations adresse ses vœux les plus chaleureux de succès !
