La forêt amazonienne est à nouveau dévastée par les flammes.
France Télévisions a dévoilé des chiffres alarmants et parle de triste record.
« Plus de 10 000 départs de feu ont été identifiés depuis début août, c’est plus que l’année dernière. La déforestation gagne du terrain » informe France Télévisions.
Sibyllin, a, son côté, tenu à pousser un coup de gueule à travers un slam dénonçant notamment la déforestation.
Un slam rediffusé au cours de ces derniers jours sur les réseaux sociaux et cumulant plus de 500 000 vues.
L’artiste revient sur ce cataclysme écologique sans précédent, nourri par les contradictions contemporaines des hommes, comme un éternel recommencement…
Les paroles, la musique et les images du clip sont poignantes et véhiculent un message fort, s’inscrivant dans la nécessaire voie de sensibilisation et de prise de conscience que chacun se doit d’emprunter, pour laquelle chacun doit s’engager, afin de réagir, sans plus attendre, à la situation critique de notre planète et aux enjeux cruciaux de l’humanité !
« Qui vend son poumon vend son âme, il y a toujours un retour de flamme, changer la donne est un vrai défi, comment le relever l’avenir en sursis ? ».
Le journaliste Hugo Clément a réagi vivement ce dimanche dans un post sur sa page Facebook officielle.
« L’Amazonie brûle dans l’indifférence générale » s’est-il ému.
Et d’ajouter : « L’année dernière, les incendies déclenchés par les fermiers et les bûcherons clandestins avaient suscité l’indignation dans le monde entier ».
« Cet été, c’est encore pire, mais plus personne n’en parle ».
« […] Ces départs de feu sont quasiment tous volontaires. La forêt détruite est remplacée par des pâturages pour le bétail ou par des cultures intensives (comme le soja) destinées à nourrir les animaux d’élevage, notamment européens ».
« La production de viande est, de loin, la première cause de déforestation en Amazonie ».
« Comme l’année dernière, le président brésilien Jair Bolsonaro nie l’existence des incendies malgré les données recueillies par son propre État, évoquant un « mensonge » ».
« La photo a été prise le 11 août 2020 à Apui, au Brésil, par Marcelino Uesley, photographe à Reuters ».
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