Eyal est un auteur-compositeur-interprète bourré de talent et qui croque la vie en chanson. Ancien tennisman de haut niveau, ce jeune toulousain de 30 ans a finalement préféré le micro et la guitare à la raquette. Son premier single “On dirait le bonheur” fleure bon l’été, la joie de vivre et de partager la passion qui l’anime à large échelle (et avec le sourire) ! Des mots et une mélodie festive qui nous ont touchés en plein cœur. Zoom sur un artiste dans le vent…
Eyal, comment ta passion pour la musique est-elle née ?
J’ai toujours aimé chanter depuis tout petit mais lors d’une soirée d’été avec des copains qui faisaient de la guitare, on s’est posé dehors pour faire de la musique et chanter. Il y avait des personnes qui étaient juste là pour écouter et d’autres qui chantaient pour le plaisir et j’ai aimé cette ambiance et ce côté fédérateur. À partir de ce moment, je savais que je voulais faire de la musique et écrire des chansons
Quelles sont tes influences musicales ?
Mes influences musicales sont très diverses car j’écoute vraiment de tout et c’est ce qui m’inspire pour composer. J’aime écouter des sons qui ne ressemble en rien de ce que je fais. Après j’adore la pop et les mélodies simples, entrainantes avec des textes touchants. Ça peut aller d’un Ed Sheeran à un Michel Berger ou d’un Stromae à un Christophe Maé ou d’un Lauve à Angèle.
Avec quel(le) artiste rêverais-tu de collaborer ?
Il y en a tellement mais je dirais Stromae et Rosalia.
Dans ton répertoire, tu es plutôt covers ou créations ?
Créations à 100% car c’est comme ça que j’ai été pris de passion pour la musique : en composant des chansons alors que je venais tout juste d’apprendre 2 accords sur ma première guitare.
Quelle est ta chanson préférée ?
Je n’ai pas de chansons préférées mais plutôt des chansons que j’écoute dans des moments de vie particuliers. En ce moment c’est « Sunday Best » de Surface et « On dirait le sud » de Nino Ferrer. C’est l’été, il y a une énergie hyper positive puis ça donne le smile et l’envie d’aller à la plage avec des copains.
Qu’est-ce qui t’inspire dans ta démarche de composition ?
Je m’inspire de ma vie tout simplement et de ce que je vois ou ressens. Je n’ai pas de règle précise quand je compose ! Ça peut être une mélodie qui m’arrive dans la tête en conduisant ou à n’importe quel moment de la journée. Ça peut aussi être quelque chose dont j’ai envie de parler et que je peux plus garder pour moi. Je veux être le plus sincère et spontané possible.
Quels sont tes projets ?
Je viens de sortir une chanson, « On dirait le bonheur », et j’ai eu la chance de faire une tournée des Zéniths juste avant le confinement. Il y a moins d’un an j’étais encore dans ma chambre à écrire et composer des chansons en espérant avoir la chance de les partager. C’est le groupe Boulevard des airs qui m’a invité à assurer la première partie de leurs concerts et qui sont maintenant des amis avec qui je collabore pour la suite de mon projet d’EP/album. La suite arrivera très vite, dans les mois à venir…
Crédit Screenshot : Eyal / Facebook
