Auteur d’innombrables tubes et duos d’exception (“Life on Mars“, “Let’s Dance” ou encore pour ne citer que celui-ci “Under Pressure” avec Queen), David Bowie, durant plus de 5 décennies, a marqué de son empreinte indélébile le monde de la musique.
Ses changements fréquents de style ont été le reflet d’une réinvention permanente de son personnage et de ses approches musicales.
Il s’est imposé comme un des artistes musicaux les plus originaux, les plus importants et novateurs de la musique popet rock, au point que de très nombreux artistes se sont réclamés de son influence, à l’image de Lady Gaga ou de Muse.
David Bowie, l’icône, la légende, le touche-à-tout visionnaire, a vendu plus de 140 millions d’albums sur la planète.
Né le 8 janvier 1947 à Londres, dans le quartier de Brixton, et mort le 10 janvier 2016 à New York, dans le quartier de Manhattan, il a été intronisé au Rock and Roll Hall of Fame en 1996.
En 2004, le journal Rolling Stone l’a placé en 39e place de son Top 100 des « Meilleurs artistes de tous les temps », et 23e de sa liste des « Meilleurs Chanteurs de tous les temps ».
La MCC Team vous propose un Top 10 de ses plus belles citations…
Je suis toujours surpris que les gens prennent sérieusement ce que je dis. Je ne me prends même pas au sérieux.
J’ai toujours eu ce terrible besoin d’être quelque chose de plus qu’un être humain. Je me sentais puni par le fait d’être humain.
J’ai toujours eu un besoin d’être quelque chose de plus qu’humain.
Je veux que ma musique éveille les fantômes qui sont en moi. Pas les démons.
C’est le fait de vivre qui m’intéresse, pas le résultat.
Cela me met tellement en colère quand les gens se concentrent sur les paroles. Cela implique qu’il n’y a pas de message dans la musique elle-même.
Les gens sont idiots. Personne ne lit, personne ne sort, ne regarde et n’explore la société et la culture qu’on leur apporte. Les gens ont une capacité d’attention de 5 secondes et la profondeur d’un verre d’eau.
J’étudiais le bouddhisme tibétain quand j’étais tout jeune, toujours influencé par Kerouac.
La minute où vous savez que vous êtes sur un terrain sûr, vous êtes mort.
La fin vient quand les infinis arrivent.
